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       Langue » Ta qevlyrrae ta maziptt  =  l’orthographe ta maziptt »

 

" DIGRAMMES "

                     

         

          Dans ta maziptt, comme dans toute langue vivante, enseignable, les phonèmes non couverts par les 26 graphèmes et phonèmes orthographiques de ( A à Z ) sont formés de digrammes diphtongaux, triphtongaux ou quadriphtongaux.

 

Diphtongue « CK » :

Dans certaines régions du nord africain, la diphtongue (CK) est prononcée « C » :

Acal

pour

Ackal

Terre

 

Dans d’autres régions ,la diphtongue ‘CK’ est prononcée « K » ( la consonne finale qui est prononcée.

Akal

pour

ackal

Terre.

 

En confondant ‘K’ et ‘ck’ surgiront alors les difficultés de compréhensions suivantes :

ae’k inni ep

Je dirai toi (toi = parole = sujet commun)

ae’ckk inni ep

Je dirai à toi (toi = interlocuteur = sujet humain)

 

Cette difficulté de compréhension ne se fera pas au niveau ‘oral’ mais elle se fera au niveau ‘écrit’.

Peu importe qu’un interlocuteur prononcerait ‘K’ pour ‘CK’ en parlant, c’est à l’écrit qu’il faut se fier :

Quand j’entends prononcer :

Ae’k inni ep.

Je situerai ‘géographiquement’ mon interlocuteur, tout comme celui qui me dira :

Ae’c inni ep !

Or l’écrit doit être ‘unifié’ pour les uns tout comme pour les autres.

« Ae’ckk inni ep »

sera alors cet écriture académique que le corps enseignant est chargé de divulguer à grand échelle. 

Diphtongue  « DJ » :

La diphtongue ‘DJ’ est usitée dans tous les mots comportant ce phonème :

Exemples :

A fendjal

Une tasse.

Adjus

Un sud

T addjêl

Une veuve

 

Diphtongue « DT ».

Elle est une diphtongue consonante dont la formation s’est imposée par elle-même, c’est-à-dire, jamais de son ‘T’ précédé du son  D’ ne se prononce.

Exemples :

Ae’ddee (ete) ase.

Elle viendra

Ae’p iddee (ete) uali

Elle nous en verra

 

(Ici le ‘ete’ n’est pas prononcé malgré écrit). Or, « D+T » joints, formeront le :

digramme  « DT » (the anglais).  

Exemples :

Aedt inni ep

Je dirai

Aedt  eye isin

Il saura

Aedt uali ep

Je verrai

 

Triphtongue « DTT » :

La triphtongue ‘DTT  (ts) s’est imposée par elle -même, car, chaque fois que nous  avons  le son  « DT » qui précède le son « T » nous obtenons , phonétiquement le son « DTT »  (ts).

Exemples :

Aedt ett inni ew

Tu diras

Aedt ete etcce

Elle mangera

Aedt ett uali em

Vous verrez

Edt ta mewwtutt

C’est une femme.

Ce qui nous donne le résultat de :         « DT  + T  =  DTT »

 

Edtt uali ep

Je vois

Edtt maqêl ep

Je regarde

Edtt gami ep

Je refuse

Edtt emy sewwtél ep

Je me rase.

Edtt heggi ep

Je prépare

 

La quadriphtongue « DTTT » est rendue nécessaire sachant que tout substantif masculin à terminaison consonante « DT »  au féminin singulier est prononcé « DTTT » (wt) :

Exemples :

A gjellidt

Roi

Ta gjellidttt

Reine

A palêdt

Mur

Ta palêdttt

murette

A jzennadt

Artisan

Ta jzennadttt

Artisan

A seflaadt

Auditeur

Ta seflaadttt

Auditrice

 

Diphtongue « GJ ».  

La diphtongue « GJ » est rendu nécessaire en écoutant parler i mazipen de différentes régions du nord africain :

Exemples :

Ijerr

pour

Igjerr

Champ

Igerr

pour

Igjerr

Champ

Igjerr

pour

Igjerr

Champ

 

En interlocuteur instruit en langue ta maziptt, on ne saura être étonné d’entendre prononcer :

A jellidt

pour

A gjellidt

Roi

A gellidt

pour

A gjellidt

Roi

 

on ne fera que situer géographiquement nos interlocuteurs !

A gjellidt – quant à l’écrit académique.

 

Diphtongue « JZ » :  

La diphtongue « JZ »  est rendue nécessaire en sachant que, jamais un ‘ j   n’est précédé de la consonne ‘z’ dans aucun mot a mazip, ou s’il l’est, ce ne sera que pour emphatiser le phonème ‘J’.

Exemples :

A qejzmupr

Un bidon

A qejzzapr

Une jambe

Ta jzaprivtt

Acide (sel)

 

La diphtongue « PR » :

La diphtongue « PR » est  formée de ‘P’ + ‘R  en sachant que dans aucun mot de la langue ta maziptt  le son ‘P’ (R grasseyé) ne précède le son « R » (R doux).

En mariant ces deux graphèmo-phonèmes, nous obtenons le « R très roulé »

Exemples :

A peprëmm

Un (du) pain

A wapr

Un pied

La diphtongue  « SZ » :

La diphtongue « SZ » est aussi formée en sachant que dans aucun mot a mazip le son ‘Z’ n’est , ne peut précéder le son ‘S’ Lorsqu’il l’est ou le sera, ce ne sera que pour sifflé le « S ».

Exemples :

A szefszaf

Peuplier.

A szubuo

Descendement

A szeprëmm

Un rectum

 

La diphtongue « WT » :  

La diphtongue ‘WT’ est rendue nécessaire en sachant que tout nom ou adjectif masculin à terminaison consonne « W », lorsqu’il est féminisé, c’est-à-dire, lui ajouter le ‘TT’ marquant  ‘le féminin singulier’, il se prononcera « WT » (gros T).

Exemples :

A semmaw

Froid

Ta semmawtt

Froide

A yazéw

Coq

Ta yazéwtt

Poule

A zelmaw

Le gauche

Ta zelmawtt

La gauche.

 

La diphtongue « TC 

La diphtongue « TC » est usitée dans tout mot à phonème « TC » (tch) :

Exemples :

A  tcamêr

Une barbiche

Ta tcinttt

Un oranger

Utciy

Le manger

Itcipr

Pinson

Etcceett

Monger

 

La triphtongue « TTT » :  

La triphtongue « TTT » est usitée dans des  noms féminins àterminaison ‘T’ masculins ou féminin.

Exemples :

A lemat

Un pré

Ta lemattt

Une prairie/paradis

A yennattt

Un machin/truc

Ta yennattt

Un machin/truc

 

La diphtongue «ZS » :

est créée vu que dans aucun mot a mazip le son ‘Z’ ne précède le son ‘S’,lorsqu’il le sera, c’est pour emphatiser le «‘Z’»

Exemples :

A zsepru

Une pierre

A szalim

Oignon (de l’)

A zsaeprr

Racine (veine)

Izssiy

Vésicule

Izsprée

Vue

Uzsuo

Plantement

 


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